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Scolari afirma que não convocou Baía por “opção técnica”

Friday, September 05, 2008

O antigo seleccionador nacional, Luiz Felipe Scolari, presente em Nyon, no Fórum de Treinadores de Elite da UEFA, afirmou esta manhã que nunca convocou Vítor Baía para a selecção nacional por “opção técnica”. Scolari respondia a Baía, que ontem o acusou de cobardia. “As escolhas que fiz na época e as que faço agora são de acordo com as minhas convicções. Já falei 120 vezes a mesma coisa, que Baía não foi à selecção por opção técnica. Quem quiser entender, que entenda, quem não quiser, paciência…”, concluiu Scolari.

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Benitez wary of Man City


The Liverpool manager fears that the takeover at City by people close to the ruling family of the oil rich emirate of Abu Dhabi will inevitably force transfer fees up, making the task of securing top level players that much harder for teams like Liverpool attempting to mount a serious title challenge.

Liverpool had a relatively quiet summer on the transfer front despite paying around £20 million for Tottenham striker Robbie Keane and a protracted, and ultimately unsuccessful, pursuit of Gareth Barry.

Addressing expectations that the arrival of Keane could prove the catalyst for Liverpool to be crowned champions for the first time since 1990, Benitez was eager to stress that other teams in the division had spent big, and warned that City may do so again in January.

"Our supporters need to know we are trying to do our best," said Benitez.

"We spent £20 million on Torres. We spent £20 million on Keane so now people say we have to win.

"United has spent £20 million on Nani; £20 million on Hargeaves; £18 million on Carrick; £30 million on Rooney before that and £30 million on Ferdinand before - some of these players are on the bench.

"It is important to understand that it is not easy to win the title."

Benitez went on to highlight that Aston Villa, too, have spent big this term, further strengthening the competition at the top of the table, but refuted the idea that the biggest spenders will naturally be the ones to take the trophies.

"You cannot just win the title by spending money but Chelsea won for two years spending big, big money," he said. "Afterwards Manchester United won spending lots of money too.

"If we are talking about spending money then maybe Manchester City will win the title this year.

"It is not just a question of money but if you have more money it is easier. If you don't have too much money, you must do the job as best you can.

"If we are talking now, maybe they [Manchester City] need time but if we talk in January maybe they will buy five players...then you never know.

"But it is not just a question of 'I will invest more and I will win'. You cannot guarantee anything."

On a dramatic final day of the transfer window news leaked that Manchester City had made a £45 million bid for Liverpool's Fernando Torres, a suggestion the Liverpool manager insisted he had no knowledge of.

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Rio Ferdinand ruled out of England's World Cup qualifier



England manager Fabio Capello confirmed the Manchester United defender was unavailable for the game against Andorra, but he is expected to be fit for Wednesday's trip to Croatia.

The match against Andorra in Barcelona is Capello's first competitive match since he took over from Steve McClaren following England's failure to qualify for Euro 2008.

Capello insisted "the door is still open" for Newcastle United striker Michael Owen despite his omission from England's squad for their first two World Cup qualifying matches.

There were doubts cast over the international future of Owen after he was not included in the party for the forthcoming fixtures against Andorra and Croatia.

But head coach Capello has addressed concerns that Owen, 28, is no longer part of his plans and explained that fitness was the major factor behind the decision.

"I considered things and I decided he [Owen] is not fit physically," Capello explained.

"The match against the Czech Republic you could see that Steven Gerrard and Wayne Rooney were not fit and they played on 60 and 70 minutes.

"So it is for this reason I have not included Michael Owen but the door is still open for him to return."

Capello also said that he has seen his squad develop since he has taken over from Steve McClaren earlier this year, even though England's performances have not been convincing.

"I have seen a lot of improvement because the players understand what I want and at this moment I am confident in the players in the team for the next two games," Capello added.

"When we played against the Czech Republic the players were not completely fit but now they are better.

"This is only the first game and we have just started on the road for South Africa. We have many more games to play."

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Notícias em Francês - Domenech

"Domenech a plus péché sur la forme que sur le fond"


L'échec à l'Euro à peine digéré, l'équipe de France de Raymond Domenech entame le 6 septembre, en Autriche, les matches éliminatoires pour la Coupe du monde 2010. Le président de la Fédération française de football (FFF), Jean-Pierre Escalettes, exhorte les Bleus à montrer un nouveau visage.

Bien sûr que non. Une équipe, ça vit au jour le jour et ça s'adapte. Les circonstances actuelles, ce sont les départs de Lilian Thuram et Claude Makelele, les blessures de Willy Sagnol ou Patrick Vieira. Les jeunes sont là, les places sont libres, à eux de prendre le pouvoir. Le soir de l'élimination à l'Euro contre l'Italie, au moment de la montée dans l'autocar, j'ai rencontré le président de la fédération italienne. Il m'a dit : "On a gagné, mais je préfère votre avenir que le nôtre. On n'a pas de génération aussi talentueuse qui arrive." Les Italiens ont certainement de très bons jeunes joueurs, mais ont-ils autant de Nasri, Benzema, Ben Arfa, Sagna, Clichy, Diaby, etc. Et puis, tout le monde n'a pas la classe d'un Thierry Henry !


Thierry Henry est depuis le 20 août le nouveau capitaine des Bleus. Est-ce un bon choix ?


C'est le choix du groupe, et puis Thierry Henry m'a étonné par sa prise de responsabilité. Je le croyais plus individualiste que cela, je l'ai vu à l'oeuvre en Suède, il a pris son rôle très au sérieux.


Le conseil fédéral a-t-il fixé un objectif de résultats au sélectionneur : on parle de 5 points minimum lors des trois prochaines rencontres des Bleus ?

Un membre du conseil a posé la question, ne serait-il pas bon de fixer un objectif chiffré au sélectionneur ? Mais cette idée a été balayée après l'intervention du DTN Gérard Houllier, qui a rappelé que cela ne s'était jamais fait. La pression, Raymond Domenech l'a tout seul, lui comme les joueurs. Tous sont conscients que les trois prochains matches (face à l'Autriche le 6 septembre, à la Serbie le 10 septembre, à la Roumanie le 11 octobre) seront capitaux. Nous ferons le point après France-Roumanie.


Et si les victoires attendues ne sont pas au rendez-vous ?


Qui vivra verra ! Toutes les questions pourront se poser mi-octobre, mais je me refuse à vivre dans l'angoisse. Je veux vivre dans l'espoir, que les Bleus donnent un autre visage qu'à l'Euro, celui entrevu en Suède le 20 août. Il y a longtemps qu'on n'avait pas marqué trois buts construits, à l'extérieur.


Les Bleus peuvent-ils changer de jeu sans changer de coach ?

J'ai passé des jours et des jours à réfléchir, à rencontrer des gens. Maintenir Raymond Domenech à son poste contre l'opinion publique, contre les médias, ce n'était pas une décision facile à prendre. Si j'avais été sûr qu'une autre solution allait amener immédiatement des résultats, je n'aurais pas hésité. Je suis président d'une fédération de 2,3 millions de licenciés, j'ai besoin de résultats avec l'équipe nationale. J'ai réfléchi et j'ai pensé que Raymond Domenech avait plus péché sur la forme que sur le fond. Les joueurs lui faisaient confiance. Il ne faut pas oublier que cette jeune génération qui s'affirme, c'est Domenech qui lui a mis le pied à l'étrier. Je n'avais pas de raison majeure de lui dire de partir. J'avais en revanche des critiques sur sa communication, l'absence de contradicteur dans son staff. La plupart des décisions qui ont été prises l'ont été en accord avec lui, parfois à son initiative. C'est lui qui a demandé à être détaché de tous les aspects extérieurs au terrain et d'avoir un 2e adjoint pour les joueurs de champs. Il nous a proposé le nom d'Alain Boghossian.

Pourquoi Alain Boghossian ?

Il l'avait vu dans les stages pour devenir entraîneur professionnel où Boghossian avait été brillant. Il savait que c'était un fédérateur. Pas un amuseur public, l'un de ces joueurs qui savent souder un groupe. Cela a manqué en 2008 et même en 2006. Zizou, c'est un génie du football mais ce n'est pas un fédérateur. Boghossian n'a pas la langue de bois, il est capable de dire à Domenech qui il faut faire jouer ou sortir, ce que le staff de Domenech n'était pas capable de faire.

Attendez-vous aussi un changement de comportement de la part des joueurs ?

Je leur ai demandé d'être plus avenants, d'enlever un peu leur casque sur les oreilles ! Une charte leur demandant plus de disponibilité sera bientôt finalisée. L'équipe de France est un tremplin extraordinaire, ce n'est pas simplement pour faire une pige.

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Mourinho diz que Quaresma mete medo

Wednesday, September 03, 2008
Contratar Quaresma tem várias vantagens para esta versão do Inter de José Mourinho. A primeira salta à vista: "O Ricardo é um ala puro, que está habituado a jogar no FC Porto há anos sucessivos, num sistema que não é muito diferente do nosso, pelo que não será difícil para ele se adaptar. Para além disso, joga em velocidade, é forte no um-contra-um e é um jogador com uma média de golos por época que anda entre os seis a dez, fora as inúmeras assistências que faz, o que para um ala é positivo."
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A segunda vai muito mais para além do que é visível para o adepto comum. "Soma-se o número de cartões que tira aos adversários, mais o medo que mete aos adversários, que muitas vezes os obriga a jogar com uma dupla marcação, e isso pode libertar outros jogadores", explicou Mourinho.

Por fim, o técnico sublinhou um aspecto que leva muitas vezes os jogadores a transcenderem-se: "Tudo isso acrescido do facto de ele chegar com uma motivação extraordinária, com um desejo muito grande de dar um salto na sua carreira."


Mourinho aponta problemas na formação em Inglaterra

Apesar de ter recusado o convite da federação inglesa (FA), José Mourinho colocou-se no lugar de Fabio Capello e apontou, num artigo de opinião no jornal "The Telegraph", aqueles que são os principais problemas de se ser seleccionador inglês. E o maior, segundo o português, é mesmo "não se poder comprar jogadores". É que o técnico do Inter pensa que o sistema utilizado na formação em Inglaterra prevê poucos jogos entre os principais clubes, e até deu o exemplo do que acontece por cá. "Em Portugal, um miúdo que tenha chegado aos 10 anos ao FC Porto, quando tiver 16 já jogou dez ou 12 vezes contra Benfica e outras tantas com o Sporting. Tem muitos jogos nas pernas perante grandes equipas, e muitos deles em frente a grandes assistências nas bancadas. Em Inglaterra, os mais novos só jogam a nível regional. Os miúdos do Chelsea ganham 14-0 ao Cobham e impressionam. Mas o que é que aprenderam?" - questiona.

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Luisão com Sumaríssimo fica 2 jogos de fora






A Comissão Disciplinar abriu um processo sumaríssimo a Luisão e propôs um castigo de dois jogos de suspensão, acrescidos de uma multa de mil euros, por causa da agressão a Sapunaru, ocorrida aos 4 minutos de jogo e que escapou à equipa de arbitragem. A pena, passando a definitiva depois de esgotado o prazo de recurso, coloca o brasileiro fora das opções do treinador para os jogos com o Paços de Ferreira e para o jogo com o Sporting.

Recorrendo às imagens televisivas, a CD considerou que Luisão terá agido com o propósito de "inferiorizar" ou intimidar Sapunaru e, mediante a moldura penal em que se enquadrava o caso, optou por propor um castigo intermédio de duas jornadas. A CD sublinha o facto de o lance ter passado despercebido ao árbitro, critério indispensável à aplicação de um processo sumaríssimo, lembrando que o momento em causa coincidiu com uma breve interrupção do jogo com outro propósito: obrigar Rolando a sair de campo por estar a sangrar da testa depois de outro lance disputado com Luisão.

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